Rumeurs

[Frisson]

Dans la soirée d’hier, un coursier aurait remis un ordre de mission signé de la main du général Edelrick aux forces de Gludin encore présentes dans la citée fraîchement libérée.

Peu de temps après la retraite aurait sonné pour les troupes Gludinoises. Les soldats auraient débuté les préparatifs à la sortie nord est de la ville, ils sembleraient sur le départ.

[Mizuriel]

Dans la journée, les gardes de la villes inspecterons toute personnes entrant et sortant de la ville à la recherche d'un individu, la description fut donné par la maitre espion de la ville. L'alchimiste charlatan correspondrait à la description donné.

Puis elle serai partie dans les terres autour de la ville afin de faire un repérage des zones à haut potentiel. Faisant attention de ne pas croiser la route de la Légion.

[Flora]

L'intendante se se rapprocherait des erudis de la cité a la suite d'une expédition la veille. Le sujet n'est pas connu en publique

[Flora]

(extrait du jeu)

Il se murmure qu'a Giran des explosions se font entendre de manière régulière. La Pretresse Iris y passerait absolument tout son temps à créer des sortes de mine magique. Solution efficace car les quais ont été repris.

Il est cependant interdit de se balader sur les quais libérés, les minres, étant invisible, sont encore présentes et redoutables.


Autre fait, elle serait a présent a l'étude de l'Empirium après avoir ramenée une pierre, seule de rare curieux auront vu a l'oeuvre cette manipulation, pourtant imposible, de cette pierre.

[Frisson]

Au port de Giran, le régiment de templiers Einhasadiens de Gludin en faction aurait reçu un nouvel ordre de mission. Ils se seraient dirigés vers la ville et auraient ensuite commencé à aider à déblayer les gravats encore présents dans la cathédrale, et participer aux manœuvres logisitiques pour soulager les artisans.

Peu de temps avant l'ordre émis, le général Edelrick aurait été aperçu discutant avec l'intendante Flora, les échanges auraient duré un petit moment.

[Flora]

A Giran, se propage la rumeur d'une mise en place prochaine d'une taverne, un futur lieu de vie ou les gens pourrait s'y retrouver pour partager des instants de camaraderie.

Le projet devrait voir le jour sous peu, l'Intendante Flora Iris semble assez positive sur ce projet.

[Luminissia]

Ce matin alors que tous les marchands se mettent place et ouvrent leur étale comme à leur habitude, un marchand semble manquer à l'appel. En effet le forgeron légendaire Shadai semble manquer à l'appel. Lui qui n'a pas loupé un seul jour de marché jusque là serait-il malade ?

[Flora]

L'intendante parcourrais les rues de la cité pour démontrer et expliquer l'équilibre économique de la cité. Ces leçons de politiques n'ont pas semblement effet sur une population qui sait pas trop comprendre les chiffres, mais elle sut trouver le bon exemple en explicant la situation de manière différente, sur un sujet qui parle les gens : la nourriture.

La ville peut fournir, par EXEMPLE, 1000 rations de nourriture, nous sommes 1000. L'équilibre est la.
Une personne décide de rajouter 200 personnes à la ville d'un coup, menant a 1200 personnes, sans prévenir les personnes en charge du rationnement.
Le lendemain, 1200 personnes sont la pour 1000 unités de nourriture. Il est clair qu'il manque 200 portions.
L'intendance actuellement travail d'arrache pied pour trouver ces 200 portions, toujours dans la métaphore, mais que si les rumeurs traitent l'intendance de saboteuse ou de folle, qu'il sera plus compliqué de trouver des solutions sans l'aide de tous.

Elle prône un message d'unité et de bienveillance, a la sauce toujours aussi calme et poétique que se montre la prêtresse Ethérée.

[Luminissia]

La 20 aines de volontaires, en pleine pause de midi, se régalant de leur repas regardent la prêtresse avec intérêt et lui aurait demandé de quels 200 soldats elle parlait ? Ils furent curieux et regardèrent leur mini régiment de volontaires et l'un d'eux soupire et sourit avec douceur à la prêtresse avant d'éclater de rire : Avec tout le respect que j'vous dois m'dame, si y'avait plus que 20 pecno prêts à se sacrifier pour l'amour de leur ville et tout ca gratuitement on serait tellement bien défendu qu'on aurait plus trop de soucis à s'faire hein !

Un autre la regarderait de travers en bougonnant : Hey mais c'est pas elle du coup qui a voulu nous privé de nourriture et d'armure ?

Les oreilles des passants furent attirées par le groupe en pause quand même assez conséquent en plein milieu de la rue et regardèrent avec mépris la prêtresse pour certains, interrogations pour d'autres, mais le public de ce spectacle fût plutôt mitigés devant la "folle" des rumeurs qui parcouraient la ville.

[Flora]

Après plusieurs jours d'absence, l'ancienne Intendante serait revenue à la cité de Giran en quete de rencontrer la diplomate, sur des motifs médicaux.

Elle aurait croisée plusieurs personnes qui l'aurait interrogée sur les motifs de son départ, suite à la crise qui la lie au Général. Elle aurait répondue avec bienveillance qu'un peuple se dirige vers la cité de Heine et qu'elle avait déja prévenue Ascalia qu'un jour elle rendrait l'intendance, et que suite aux mouvements des elfes, ce départ a été précipité. Elle ajoute avoir laisser de nombreuses consignes pour que l'intendance puisse se faire dans l'attente d'un successeur. Néanmoins, elle est toujours responsable du quartier Evaiste, auquel elle y va régulièrement suite aux nouvelles voies maritimes qui s'ouvrent. Le départ s'est passé dans de bonnes conditions, Ascalia aurait souhaité simplement bonne chance a Flora dans un discours courtois et bienveillant.

Les plus curieux aurait posé la questions plus précises sur les dites rumeurs avec le général elfique. Elle expliquera qu'a tout a chacun peut connaitre des erreurs, seulement, l'importance des erreurs ne se jugent pas toutes dans l'instant présent, mais dans l'avenir. Elle pardonne au Général, et n'en tiens pas rigueur, lui souhaitant simplement bon courage par la suite, et de retrouver sa sagesse d'antan.

Avant de repartir, elle aurait rencontré a nouveau le forgeron assez connu pour ne jamais porter de haut, et ils auraient discuté longuement avant de partir dans une poignée de main. Il se serait mis au travail par la suite, semblant fabriquer des hameçons.