Nom de naissance : De Volpelier
Prénom : Agnès
Surnom : Nès, ma flamme, la rouquine
Parents : Armand, Eglantine
Titre : Héritière des de Volpelier
Sexe : Féminin
Race : Humain
Langues parlées : langue commune, langue des signes, langue inventée avec sa jumelle.
Description physique : Un visage fin aux lèvres pulpeuses et aux grands yeux saphir, un corps aux formes voluptueuses, le tout souligné par une chevelure rousse tombant en cascade sur ses épaules, Agnès est une très belle femme mais ses manières sont plutôt brusques presque masculines. Elle n’a pas la langue dans poche et peut se montrer particulièrement vulgaire. Elle se tient toujours droite, le menton fièrement relevé, comme si elle était prête à défier le monde entier.
Comportement social : Agnès prend son rôle de grande sœur particulièrement à cœur et veillera toujours sur sa jumelle, prête à nettoyer derrière cette dernière. Très fière, elle ne se laissera jamais marcher sur les pieds. Elle adore jouer et parier. Sûre d’elle, elle peut devenir très charmeuse.
Type de personnage : Reroll
Age : 22 ans, l’aînée de quelques minutes
Métier : sans
Compétences :
- Combat : A appris à se battre avec ses poings, une épée légère ou un mousquet.
- Magie : A des compétences inutilisées.
Alignement : Chaotique neutre
Situation financière : Pauvre mais ignore pouvoir réclamer son héritage familial
Caractère : Fière, joueuse, franche
Type d’éducation reçue : Au départ stricte puis le reste de l’éducation a été faite par un équipage pirate, soit plutôt chaotique.
Pensée politique : Les nobles sont trop riches… Il faudrait alléger leur fardeau…
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Croyances : Kainiste
Préjugés : Quand il s’agit de s’amuser, elle n’a aucun préjugé.
[Humaine] Agnès de Volpelier
Re: [Humaine] Agnès de Volpelier
Dans le somptueux manoir familial de Heine, Inès et Agnès de Volpelier grandissaient dans un monde trop rigide à leur goût, façonné par les aspirations sévères de leur mère. Sous le regard désapprobateur de celle-ci, elles apprenaient à marcher avec la dignité d'une noblesse impérieuse, des livres soigneusement posés sur leurs têtes pour corriger leur maintien. Chaque jour, elles récitaient des lectures classiques pour polir leur dialecte, mais derrière leurs yeux pétillants se dissimulait une indomptable soif de liberté.
Dès que les professeurs tournaient le dos ou parvenaient à être distraits, les deux sœurs s'échappaient en riant, laissant derrière elles une traînée de chaos dans le sillage des servants et servantes qui peinaient à les contenir. Les cachettes secrètes et les farces enfantines étaient leur échappatoire, une rébellion contre l'ordre imposé par une mère constamment frustrée par leur insoumission.
Pendant ce temps, leur père, Amiral des mers lointaines, ne se manifestait que par intermittence, ses retours au foyer se résumant souvent à des réprimandes sévères dictées par leur mère, qui décrivait avec colère les méfaits de ses filles turbulentes. Son autorité maritime ne trouvait pas d'écho dans le cœur espiègle et libre des jeunes filles, alimentant ainsi le conflit latent entre les aspirations strictes de leur mère et leur désir ardent de découvrir le monde à leur propre manière.
Dans ce décor de luxe oppressant et de discipline rigide, Inès et Agnès de Volpelier naviguaient avec grâce entre les règles imposées et les escapades clandestines, prêtes à défier les attentes de la société qui cherchait à les façonner à son image.
…
Un matin d'aube, à l'occasion du septième anniversaire des jumelles, leur père, Armand de Volpelier, fit une rare apparition au manoir familial. Son visage grave et ses mots mesurés annoncèrent leur départ imminent. Le lendemain, elles embarqueraient pour un voyage crucial où Agnès, en tant qu'héritière, serait présentée au jeune Ranulphus Chastelet, originaire de Rune.
La nouvelle de ce voyage agita les jeunes filles, mêlant excitation et appréhension face à l'inconnu qui les attendait. Le manoir bouillonnait d'activités fiévreuses alors que les préparatifs s'organisaient dans une frénésie de mouvement.
Cependant, après plusieurs heures de voyage en mer, une ombre imprévue se glissa dans leur destin. Un navire émergea de la brume, ses voiles aussi sombres que l'encre de minuit. Sur sa proue, le sinistre nom "Ombres du Trident" était gravé dans le bois, déclenchant un frisson dans le cœur des marins les plus aguerris.
L'équipage des Ombres du Trident, célèbre pour ses méthodes impitoyables et ses ambitions sans limite, avait choisi ce jour-là pour croiser la route des de Volpelier. Leurs intentions étaient obscures, leur présence menaçante.
À bord du navire des jumelles, l'air était chargé de tension alors que l'ombre du conflit planait sur l'horizon. Le voyage qui devait être un pas vers l'avenir se transformait soudain en une épreuve de courage et de résilience, où le destin des deux jeunes filles serait irrémédiablement lié à celui des Ombres du Trident.
Dès que les professeurs tournaient le dos ou parvenaient à être distraits, les deux sœurs s'échappaient en riant, laissant derrière elles une traînée de chaos dans le sillage des servants et servantes qui peinaient à les contenir. Les cachettes secrètes et les farces enfantines étaient leur échappatoire, une rébellion contre l'ordre imposé par une mère constamment frustrée par leur insoumission.
Pendant ce temps, leur père, Amiral des mers lointaines, ne se manifestait que par intermittence, ses retours au foyer se résumant souvent à des réprimandes sévères dictées par leur mère, qui décrivait avec colère les méfaits de ses filles turbulentes. Son autorité maritime ne trouvait pas d'écho dans le cœur espiègle et libre des jeunes filles, alimentant ainsi le conflit latent entre les aspirations strictes de leur mère et leur désir ardent de découvrir le monde à leur propre manière.
Dans ce décor de luxe oppressant et de discipline rigide, Inès et Agnès de Volpelier naviguaient avec grâce entre les règles imposées et les escapades clandestines, prêtes à défier les attentes de la société qui cherchait à les façonner à son image.
…
Un matin d'aube, à l'occasion du septième anniversaire des jumelles, leur père, Armand de Volpelier, fit une rare apparition au manoir familial. Son visage grave et ses mots mesurés annoncèrent leur départ imminent. Le lendemain, elles embarqueraient pour un voyage crucial où Agnès, en tant qu'héritière, serait présentée au jeune Ranulphus Chastelet, originaire de Rune.
La nouvelle de ce voyage agita les jeunes filles, mêlant excitation et appréhension face à l'inconnu qui les attendait. Le manoir bouillonnait d'activités fiévreuses alors que les préparatifs s'organisaient dans une frénésie de mouvement.
Cependant, après plusieurs heures de voyage en mer, une ombre imprévue se glissa dans leur destin. Un navire émergea de la brume, ses voiles aussi sombres que l'encre de minuit. Sur sa proue, le sinistre nom "Ombres du Trident" était gravé dans le bois, déclenchant un frisson dans le cœur des marins les plus aguerris.
L'équipage des Ombres du Trident, célèbre pour ses méthodes impitoyables et ses ambitions sans limite, avait choisi ce jour-là pour croiser la route des de Volpelier. Leurs intentions étaient obscures, leur présence menaçante.
À bord du navire des jumelles, l'air était chargé de tension alors que l'ombre du conflit planait sur l'horizon. Le voyage qui devait être un pas vers l'avenir se transformait soudain en une épreuve de courage et de résilience, où le destin des deux jeunes filles serait irrémédiablement lié à celui des Ombres du Trident.
Re: [Humaine] Agnès de Volpelier
Cachées dans la pénombre et masquées par la grande malle, les fillettes retenaient leur souffle. L’odeur du sang, les cris et les rires goguenards affolaient leurs sens et, agrippées l’une à l’autre désespérément, elles guettaient en silence le moment où ils partiraient enfin. Elles avaient vu leur mère ainsi que sa servante se faire égorger devant elles. Mais Agnès comprit rapidement qu’elles ne pourraient échapper longtemps à leur vigilance. Ils fouillaient le navire à la recherche d’un quelconque butin…
Comme elle s’y attendait, un pirate finit par apparaître dans leur champ de vision.
-Rg’ardez c’qu’on a là !
Avec un sourire un peu mauvais, il empoigna la tignasse rousse d’Agnès qui grimaça de douleur mais ce fut sans compter sur sa jumelle Inès qui bondit sur le bras de l’homme et le mordit jusqu’au sang. Ce dernier lâcha la fillette brusquement en hurlant de douleur. Un autre homme surgit puis toute une petite troupe. L’un d’eux était particulièrement imposant tant par sa taille que par sa barbe broussailleuse. Un des pirates s’approcha davantage des fillettes et les observait en fronçant les sourcils.
Des enfants ? Il ne devait pas y en avoir…Capitaine, que faisons-nous ?
-Jetez-les à la mer.
-Mais… Capitaine !
-Un souci, Declan ?
L’homme se contenta de baisser le regard mais alors que d’autres membres de l’équipage s’approchaient des jumelles, le capitaine lui-même fut surpris par un bruit sec de claquement de dents. Toujours fermement serrées l’une contre l’autre, Agnès et Inès tentaient de mordre ceux qui s’approchaient. Mais ce qui fit sourire les forbans fut surtout leur regard. Ni l’une ni l’autre ne pleurait ou ne montrait de la peur. Leurs yeux étaient rivés sur eux, le regard inflexible et empli d’une rage de vivre. Amusé, le capitaine revint sur sa parole et proposa de garder les fillettes.
Dernière modification par Caëlys le dim. juin 30, 2024 4:12 am, modifié 3 fois.
Re: [Humaine] Agnès de Volpelier
Au début, elles étaient traitées comme des animaux : des petits chiots pour amuser la galerie, l’équipage prenant un malin plaisir à voir les jumelles se rebiffer. Mais assez rapidement, l’équipage des Ombres du Trident prit les fillettes d’affection et s’en donnait à cœur joie à leur apprendre des choses qu’en tant que nobles elles n’auraient jamais dû savoir : jurer, jouer aux cartes ou aux dés, tricher, voler. Inès se montra particulièrement réceptive et devint avec les années une vraie pirate. Agnès s’en divertissait mais les apprentissages sévères de son enfance restaient trop ancrés en elle. Elle apprit à parler différemment mais dès qu’elle baissait sa vigilance reparlait sans tic de langage. Mais elle ne parlait plus du tout comme une personne de son rang, ne mâchant pas ses mots. Bien qu’elle fut en compagnie des assassins de ses parents, elle se sentit libérée du fardeau de son héritage et appréciait sa nouvelle vie. Mais elle n’oubliait pas tout à fait la raison de sa présence sur le navire de son père ce jour-là : ses futures fiançailles au quatrième fils de la maison Chastelet de Rune, Ranulphus. Future union à laquelle la fillette s’était farouchement opposée.
Dorénavant, elle considérait le navire comme son foyer et préféra orienter ses apprentissages sur la navigation que sur la triche et le larcin.
Dorénavant, elle considérait le navire comme son foyer et préféra orienter ses apprentissages sur la navigation que sur la triche et le larcin.
Dernière modification par Caëlys le dim. juin 30, 2024 3:46 am, modifié 3 fois.
Re: [Humaine] Agnès de Volpelier
Les années passaient et les fillettes devinrent de jeunes femmes. La transformation de leurs corps creusa davantage l’écart de comportement entre les jumelles.
Inès était une femme d'une beauté indéniable, mais elle ne s'en rendait pas compte et ne s'en préoccupait guère. Elle préférait consacrer son énergie à peaufiner ses talents dans le larcin, le vol, et la manipulation par les tromperies d'usage. Sa véritable passion résidait dans l'art du vol, où chaque coup était méticuleusement planifié et exécuté avec une précision redoutable. L'enrichissement personnel, qu'elle voyait comme une preuve de son intelligence et de son audace, primait sur toutes les considérations superficielles. Pour Inès, la beauté était éphémère et sans valeur réelle comparée à l'excitation et à la satisfaction qu'elle tirait de ses activités illicites.
La seule beauté pour laquelle elle avait de l'intérêt était celle de sa sœur. D'une part parce qu'elle l'aimait profondément, et d'autre part parce qu'elle savait qu'elle pouvait s'en servir à son avantage.
Agnès quant à elle prit rapidement conscience de leur beauté et du regard des hommes sur elles. Trouvant tout cela plaisant, elle commença à en jouer et prit davantage soin de son corps et la façon de le mettre en valeur. Elle appréciait surprendre cette lueur particulière dans les yeux qui la suivaient. Inès lui proposa de s’en servir pour l’aider à tricher ce qu’elle accepta sans hésiter. Elle devint rapidement experte pour détourner l’attention des hommes sur elle tandis que sa sœur trafiquait son jeu. De se sentir si irrésistible, sa confiance en elle ne fit que croître et un nouveau défi occupa ses pensées : perdre sa virginité.
Elle jeta son dévolu sur Declan, le second du capitaine qui était de loin le plus avenant et le plus bel homme de l’équipage. Ce dernier avait toujours été présent et gentil avec elles un peu comme un grand frère. Mais son regard sur les sœurs avait changé et elles le savaient toutes les deux. Se concertant, elles choisirent d’agir ensemble. Elles attendirent la prochaine escale où l’opportunité se présenterait.
Quand le navire était à quai, l’équipage en profitait pour s’amuser, laissant le bateau sous la surveillance d’un seul homme. Ce soir-là tomba sur Declan et les jumelles le coincèrent, l’une utilisant sa ruse et l’autre ses charmes pour contraindre l’homme à leur accorder ce qu’elles désiraient. Elles y parvinrent non sans mal, allant jusqu’à retourner certaines techniques de drague du pirate contre lui.
Cette nuit marqua un tournant dans la vie d’Agnès qui vit l’union charnelle comme la plus belle façon de louer sa beauté grandissante et le meilleur appât pour parvenir à ses fins.
Inès était une femme d'une beauté indéniable, mais elle ne s'en rendait pas compte et ne s'en préoccupait guère. Elle préférait consacrer son énergie à peaufiner ses talents dans le larcin, le vol, et la manipulation par les tromperies d'usage. Sa véritable passion résidait dans l'art du vol, où chaque coup était méticuleusement planifié et exécuté avec une précision redoutable. L'enrichissement personnel, qu'elle voyait comme une preuve de son intelligence et de son audace, primait sur toutes les considérations superficielles. Pour Inès, la beauté était éphémère et sans valeur réelle comparée à l'excitation et à la satisfaction qu'elle tirait de ses activités illicites.
La seule beauté pour laquelle elle avait de l'intérêt était celle de sa sœur. D'une part parce qu'elle l'aimait profondément, et d'autre part parce qu'elle savait qu'elle pouvait s'en servir à son avantage.
Agnès quant à elle prit rapidement conscience de leur beauté et du regard des hommes sur elles. Trouvant tout cela plaisant, elle commença à en jouer et prit davantage soin de son corps et la façon de le mettre en valeur. Elle appréciait surprendre cette lueur particulière dans les yeux qui la suivaient. Inès lui proposa de s’en servir pour l’aider à tricher ce qu’elle accepta sans hésiter. Elle devint rapidement experte pour détourner l’attention des hommes sur elle tandis que sa sœur trafiquait son jeu. De se sentir si irrésistible, sa confiance en elle ne fit que croître et un nouveau défi occupa ses pensées : perdre sa virginité.
Elle jeta son dévolu sur Declan, le second du capitaine qui était de loin le plus avenant et le plus bel homme de l’équipage. Ce dernier avait toujours été présent et gentil avec elles un peu comme un grand frère. Mais son regard sur les sœurs avait changé et elles le savaient toutes les deux. Se concertant, elles choisirent d’agir ensemble. Elles attendirent la prochaine escale où l’opportunité se présenterait.
Quand le navire était à quai, l’équipage en profitait pour s’amuser, laissant le bateau sous la surveillance d’un seul homme. Ce soir-là tomba sur Declan et les jumelles le coincèrent, l’une utilisant sa ruse et l’autre ses charmes pour contraindre l’homme à leur accorder ce qu’elles désiraient. Elles y parvinrent non sans mal, allant jusqu’à retourner certaines techniques de drague du pirate contre lui.
Cette nuit marqua un tournant dans la vie d’Agnès qui vit l’union charnelle comme la plus belle façon de louer sa beauté grandissante et le meilleur appât pour parvenir à ses fins.
Dernière modification par Caëlys le dim. juin 30, 2024 5:33 pm, modifié 1 fois.
Re: [Humaine] Agnès de Volpelier
BG validé