L2Dynasties

DESCRIPTION DE PERSONNAGE

Nom :Maev'ar
Prénom : Mizuriel
Surnom : Aucun pour le moment
Parents :
Titre :

Sexe :Feminin
Race :Sombre
Langues parlées : Sombre, Commun, notions d'Orc


Description physique : Mizuriel est une Sombre de taille normale, ses courbes sont dans la moyenne, mais ses muscles sont saillants, sa longue chevelure blanche s'accordant parfaitement avec sa silhouette. Cependant ses traits sont fins, une certaine morgue naturelle se dégage de sa personne. Ses yeux en légèrement en amande, s'accordent bien avec son nez fin, ses lèvres sombres et charnues agrémente également ce doux visage. Cependant sur ce corps fin et sculpté se trouve une abomination, une sombre marque orne sa peau cendrée.
Comportement social : Mizuriel fait parti de ces personnes qui arrivent facilement à se fondre dans l'environnement social, écoutant activement les discussions autour d'elle, récupérant informations et rumeurs les unes après les autres avant de les exploiter à son avantage et celui de sa déesse. Elle sait se camoufler socialement, cachant ses réelles intentions. Cependant les personnes ayant interagit avec elle, la qualifierai d'opportuniste et de malsaine sans savoir pourquoi.


FICHE PERSONNAGE
Type de personnage : Main
Age :237
Archétype : Vampire
Métier : Ancienne religieuse > Remise en question > En voie pour devenir Gardienne
Compétences :
- Combat :Bonne > de part sa nature et ses compétences surnaturelles, la discrétion et l'assassinat sont des compétences naturelles pour Mizuriel
- Magie : Moyenne

Alignement : LM > Tire vers le neutre
Maison-famille : Disparu
Clan : Maev'ar


Situation financière :
Caractère : Calme, réfléchie, cette ascète de Shilen se projette vers l'avant, attendant la bon moment pour répondre, on peut la croire distante, voir non impliquée dans les actions au service du culte, cependant, ceux qui ont eu à faire à elle la considère comme étant d'un sadisme sans limite.
Type d’éducation reçue : Haute
Pensée politique : Suite à un long sommeil, Mizuriel ignore tout de la politique actuelle du monde, cependant elle est bien décider à creuser sa place parmi la cours afin d'accroitre son influence et faire plaisir à sa déesse.

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Croyances : Shilen
Préjugés :
- Elfes : Nos cousins se sont détournés du bon chemin, libre à eux d'ignorer notre mère, libre à nous de leur rappeler son bon souvenir.
- Humains : Des grains de sable dans mon existence, pourquoi m'intéresserais-je à des éphémères?
- Kamaels : Ces choses ont une demi paire d'ailes, sont-ils à demi compétent?
- Nains : Restons proches de ces maitres artisans, une guerre se gagnent sur bien des fronts.
- Orcs : Plus robuste, plus costaud que les éphémères, mais bien plus simplet.
- Sombres : Si nous sommes les élus de Shilen, pourquoi somment nous descendu dans les ténèbres?
- Artheias : Ils se disent à part, qu'ils restent à part alors.

An 341 : Exode

Nous avons chu, il y a bien longtemps, la défaite face à l'empire Einhasadien a donné aux sombres un gout amer en bouche, pourquoi Shilen nous à demander d'entrer dans les abysses avec elle? Pourquoi devions nous nous cacher de ces personnes? Testait elle notre foi? Oui, surement.

C'est dans ces années la que je vis le jour, enfin les ténèbres, ou tout du moins une partie de celle ci. Née dans une famille noble, on m'inculqua les usages de la haute société, ainsi que l'art de la conversation. Mais j'étais une sombre avant tout, la dévotion était un rituel quotidien, l'entrainement militaire et magique l'était tout autant.

Nous nous sommes rapidement mis à explorer les Abysses. Nous étions avide de connaissances et de pouvoir, même si cela signifiait que nous devions parfois franchir des limites. J'ai commencé à pratiquer des sorts interdits et à utiliser des artefacts dangereux, cherchant à comprendre le pouvoir de la magie noire. J'ai appris que la torture et l'expérimentation étaient souvent des méthodes efficaces pour atteindre mes objectifs, et j'ai commencé à les utiliser régulièrement. Cependant une langue acérée dans l'oreille de la bonne personne est aussi dangereux que n'importe quelle lame.

De nombreux sombres avaient choisi de me suivre et de me soutenir. Nous étions déterminés à montrer au monde que les sombres étaient toujours une force à prendre en compte. Nous avons organisé des raids contre les autres races, volant, tuant, pillant les autres villes pour semer la terreur et asservir nos opposants...Seulement, était ce suffisant?

Car après tout nous étions dans un endroit que peu dirait agréable, voir leur chez soit. C'est ce qui était notre au final devenait de plus en plus un refuge contre la chasse des nôtres, nous obligeant à nous terrer toujours plus profondément dans les ténèbres. Fermant nos frontières avec le monde extérieur afin de préserver notre avenir.

An 578 : Plus sombre que les abysses

Persécuté à la surface, le culte de Shilen n'eut d'autre chois que de se cacher plus profondément dans les abysses, cherchant à étendre un empire déclinant. Complotant les un contre les autres et contre leurs ennemis, cherchant à tirer partie de la plus vieille règle de la vie : la loi du plus fort. Après tout n'était ce pas ce que souhaitait Shilen? La vie du plus fort, l'existence de celui qui arrive à célébrer la vie. Pour cela ils durent s'enfoncer profondément dans ce qui était un point de non retour.

Les sombres avait découvert une ancienne structure loin dans les abysses, dans un droit reculé, les effluves de magies étaient purs, cette structure s'enfonçait dans le sol, plus loin dans les ténèbres. Ils mirent des années pour déblayer cette structure et en découvrir des salles remplis de locataires plus exotiques les uns que les autres. Les résidents de cet endroit étaient retords et présentait d'étranges marques pour certaines. Nous pensâmes que c'était l'œuvre d'un quelconque parasite.

Des années plus tard, les sombres ont profité de l'énergie sombre de ce lieux afin de gagner en magie et d'y créer une école des arts obscur, afin d'y étudier les phénomènes locaux. Seulement ce jour la ils tombèrent sur une salle secrète, contenant ce qui semblait être une tombe. On y réunit les plus grandes familles, mages et autres afin d'établir un contact sur ce qui se trouvait dedans. Les émanations de la tombe faisait briller, d'avarice, les yeux de toutes les personnes réunies ce jour la. Je fus l'une d'elle.

Ce jour là, des rituels furent lancé afin de communiquer avec la chose morte dans la tombe, ils avaient essayé de la forcer sans aucun succès. Seulement au milieu du rituel un craquement aussi puissant que le tonnerre se fit entendre. La pierre qui scellait la tombe avait sauté, s'encastrant parfaitement dans le plafond. Certains plus curieux que les autres...ou plus avides, se précipitèrent pour regarder ce qui se trouvait à l'intérieur de cette tombe.

L'espace d'un instant les plus observateurs d'entre nous on pu voir un mouvement dans l'air, une sorte de vrombissement, puis les corps des personnes penchés sur la tombe s'effondrèrent dans une gerbe de sang tel des pantins dont on aurait coupé les fils. Toutes les personnes présentes sortirent leurs armes, cherchant à comprendre ce qu'il s'était passé. En peu de temps, le sang commença à déborder du tombeau et dans le silence le plus totale, une main s'accrocha sans un bruit au bord de celui ci.

Dans la stupeur la plus total, un être immortel, inconnu de tous s'extirpa de ce cercueil, sans un son, sans un bruit. Certains ont voulu l'attaquer immédiatement, par peur ou peu être par arrogance, leur tête sauta comme des bouchons de cervoise. D'autres ont voulu fuir, grossière erreur, la vitesse de cet être divin était bien plus importante que celle la leur, d'autres têtes sautèrent. Il avait atteint un autre plan d'existence, il était la vie, dans son plus simple appareil, dans sa plus grande simplicité, celui qui décide qui vit et qui meurt, nul n'avait le pouvoir de contrer cette force primaire.

Personne ne savait comment réagir, certains on tenté de menacer cet être, d'autres ont choisis de négocier, promettant monts et merveilles à cette divinité qui n'avait qu'a prendre ce qui lui revenait de droit. Dans ce chaos, je souriais à cet incarnation de la volonté de Shilen, la vie elle même, personnifié pour l'éternité dans cette être. Il n'y avait aucune raison de craindre quoique ce soit, elle jeta son arme dans un coin, comme ci elle avait commis un acte immonde, un blasphème. Mizuriel se prosterna, le sourire au lèvre, elle était en paix, proche de sa déesse, elle n'avait plus aucune raison de craindre quoi que ce soit puisque son incarnation physique marchait devant elle.

Lorsque tous furent mort, il ne resta plus qu'elle et cet être sain, souriante elle osa poser un regard, sachant au fond d'elle même qu'elle n'était pas digne de poser son regard sur lui. Elle ne put échapper ces quelques mots qui firent sourire l'entité : " Quos vos Shilen ".

Celui ci esquissa un sourire, attrapa la sombre, la soulevant lentement tel un fétus de paille, lui enserrant sa gorge. Mizuriel ne se défendît pas, elle servirai sa déesse d'une manière ou d'une autre, pour elle ce jour fut une épiphanie, elle se surprit elle même à enlacer cette chose. Puis une brulure, se déclencha en elle, suivit de la mort. Tout resta très flou dans sa tête, mais quand elle se réveilla, la faim, primaire, violente et incisive explosa en elle. Cette envie de vie, cette soif de vie était maintenant présente en elle, elle se sentait renaitre, la déesse l'avait bénie, elle en était sure. Ce jour marqua son être au plus au point, elle serait la plus dévolue des fidèles de Shilen.

An 834: Morte Ascendo

Les années ont passé, la faim ne me quittait jamais, mon amour pour la déesse non plus, si bien que j'étais devenu l'une des grandes prêtresse de Shilen, sa main armée, sa grande inquisitrice. Chose qui m'a bien aidé par ailleurs pour me nourrir. Mes besoins sont devenu plus simple, le sang était la vie, celui ci serait ma vie. Je ne revis jamais l'élu de Shilen, celui qui m'avait béni, celui à qui je devais cette soif de vivre de chaque instant, ce qui était le feu ardent qui brulait en moi. Je n'avais pas compris ce qui m'était arrivé, mais au fil des ans, des expérimentations, j'avais acquis les bases, je savais que ce délicieux liquide carmin alimentait les braises de ma foi, il n'en fallait pas plus.

Le monde s'enchaina rapidement, les guerres pour le pouvoir se terminant, d'autres guerres pour des idéaux futiles émergea, certaines pour le bien commun, d'autre pour le profit personnelle. A la tête de sa maison devenu prospère, Mizuriel infiltra, à l'aide de ses subordonnés, toutes les strates politique de ce monde, jouant sur un échiquier géant, piégeant dans des embuscades alliés, ceux qui voulait prendre plus qu'il ne fallait. Ses pions se déchiraient les uns et les autres afin de trier le bon grain de l'ivraie. Ceux qui arrivaient à survivre et qui partageait une foi réelle et puissante, connurent le même sort que la sombre...pour peu que cela ai fonctionné.

La maison Maev'ar était maintenant une organisation tentaculaire, dont les racines remontaient maintenant à l'exode même. Seulement la jalousie et l'avarice sont un frein à l'expansion d'autrui. C'est au sein de sa maison que le fruit pourri germa, gangrenant d'autres racines. Sa recherche de fidèles à même de survivre au don de Shilen fut peu être sa perte. Ses aspirants à son service sabotèrent leur propre organisation pour leur propre profit et gloire.

Dans le fort de la maison Maev'ar, je fus assaillit, ma maison, mes serviteurs, mes biens, tout fut saccagé, l'œuvre de l'éternité se transformant à néant. Dans presque chaque pièce, l'eau circulait, rendant louange et hommage à Shilen. Les factions infiltrés faisaient maintenant front commun afin de soit disant purger le démon qui se trouvais au sein de cet endroit maudit... La politique, c'est l'art de faire de jolie choses à d'avides jeunes personnes, les maisons rivales avaient enfin l'occasion de court circuiter la mienne. Je n'eu pas l'occasion de me défendre, grâce à une magie qui m'était inconnue, ils scellèrent ma maison, qui devint mon tombeau pour les temps à venir.

An ???: Si vis pacem...

Les années qui suivirent furent les plus dures qu'elle eut à vivre, en l'espace d'une journée, la maison Maev'ar fut tombé. Ils avaient condamné physiquement par un ébouli de roche et de terre l'accès à ses quartiers, il avaient tenté de purifier les environs par des sorts afin que le "mal" qui hantait ses lieux se résorbe...Ils venait de déclencher les enfers, l'esprit de Mizuriel resta des années face à elle même, maudissant sa propre faiblesse de se retrouver ainsi piégé sans aucun échappatoire. Les tonnes de roches, de terre et de sable bloquait la sortie.

La nourriture se fit vite rare, si bien qu'elle tomba dans un long sommeil...

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Un écho lointain comme un grattement commençait à emplir la pièce dont l'air n'avait pas été rafraichit depuis près d'un siècle. Non je rêve, mon imagination me joue des tours...

*Bruit de grattement* *Bruit de pioche*

(Non je n'ai pas rêvé, on vient me délivrer de cette prison? Un allié? L'élu?)

*Bruit de pioche* *Bruit de pierres qui s'effondre* * Toux*

-Bordel! Banco! Enfin! Je t'avais dis que y avait une salle au trésor pas loin! Les fourmis ne viennent pas dans cette zone, elle est soit disant maudite, mon cul! A nous les richesses!

-Fait attention à toi, il y a peu être des monstres dedans.

-Hey les monstres, montrez vous!

*Silence de plomb*

-Tu vois y a rien!

*grommellement*

J'entend les gens se rapprocher et fouiller mes biens, la soif hurle, elle me brule, mon instinct veux que je me lève...C'est si dur, si impossible, je me sens si raide. Très lentement j'enlève un anneau de mon doigt et je le glisse entre mes lèvres. En les effleurant j'ai l'impression de toucher un parchemin, combien de temps? Combien de temps s'est écoulé? Mon esprit s'embrume rapidement, je lutte pour ne pas me rendormir, voulant saisir ma chance.

-Putin...putin de merde...y a un corps ici! * a mi voix* ou une momie...

Je le sens s'approcher de moi, je réunis le peu de force qu'il me reste, je n'aurai pas la force de lui sauter dessus, je dois ruser.

-Cette conne a voulu avaler son or! Je t'avais dit qu'il y aurait de quoi nous rendre riche!

Je le sens commencer à vouloir saisir l'anneau qui se trouve entre mes lèvres. Je le laisse passer ses doigts entre mes lèvres et d'un déclic, je lance toute les forces que je peux amasser dans cette attaque, je l'agrippe et plante mes crocs dans ce que je peux... Cela fonctionne, le doux et chaud liquide empli ma bouche, puis ma gorge, a chaque gorgée je sens mes forces revenir. Je n'entend pas l'homme hurler de douleur ni d'effroi lorsque par faim, je lui casse le bras. Mon regard se porte sur son comparse qui vient voir pourquoi son camarade cri. D'un bond je me redresse et dans un hurlement bestial je lui fonce dessus, le plaquant contre le mur, buvant de tout mon saoul contre sa gorge...

Il sent les bêtes et la merde, mais le gout de son sang arrive à masquer cette infame odeur. Je sens mes muscles se relâcher lentement, ce repas me fais le plus grand bien, je sens ma raison revenir doucement, ma colère explose en buvant la dernière goutte de cette gourde sur patte. J'entend celui qui me réveilla tenter de fuir. Je l'attrape au vol et le plaque sur le sol. Je le chevauche, bloquant ses mouvements, rapprochant mon visage du sien.

Cela fait si longtemps que je n'ai pas aussi bien festoyé, ta vie coule maintenant en moi, alimentant le feu de Shilen. Maintenant dis moi humain, qui est ton maitre? Qui me libère de ma prison? Qui dois je remercier pour ce repas?

Ma voix est caverneuse, l'homme s'est fait dessus, dans un sanglot murmure il dit : "personne"...En un instant je plante mes crocs dans ce qui lui sert de coup et je le vide comme un marin viderai sa choppe un soir de paye. Cela fait si longtemps que je ne me suis pas nourrie que je peine à reprendre mes esprits une fois le repas fini...il m'en faut encore, cela fait si longtemps que je n'avais pas gouté à cette vie, je n'ai pas abandonné Shilen, loué soit elle de m'apporter à manger. Mes services sont requis il est temps pour moi de partir.

Je ramasse le peu d'affaires qu'il me reste et je remonte à la surface dans ce qui semble être de grandes galeries. L'air frais me frappe par intermittence le visage, après quelques minutes qui me parait une nouvelle éternité, j'inspire un air frais, il fait nuit, cela m'aidera à voyager. Je suis dans ce qui ressemble à un désert, je crois voir des insectes géants au loin. Je les ignore, je dois remonter au nord en suivant la cote à fin de tomber sur les terres ancestrales des sombres.

MAJ : Blason du clan Maev'ar

La sombre assise au bureau de son officine est pensive, la plume à la main, l'encrier sur la table elle couche sur le papier des notes tout en enfonçant son croc dans sa main.

Elle leva son nez du vélin et tomba nez à nez sur une frimousse blonde...

Est ce que tu t'y connais en invocation très chère infante?

Bello vivit../ vivere in pace.../ Regere sanguine...

Assise à son bureau, Mizuriel coucha un sur vélin les derniers évènements


Elle se leva et rengea ses affaires. Il fallait qu'elle soit prête...il fallait aussi se nourrir et elle le savait...

Per ignem et lutum

Plongeant son regard sur la ville de Gludin depuis les hauteurs, Mizuriel attrapa un petit kit d'écriture afin de coucher ses mémoires. Sur un vélin vierge, elle écrivit.



Elle rangea son petit encrier et sa plume, posa son regard sur l'énorme loup qu'elle avait nourrit, donc les liens indicibles avaient été tissés. Elle rangea une bonne partie de son équipement sur sa monture, elle savait ce qui arrivait, ce qu'elle ne savait pas, c'est l'issue de cette rencontre.

-Va! Ne reviens pas tant que je ne t'ai pas appelé!

L'énorme loup parti à pas de course à travers la campagne avant que les derniers rayons du soleil ne viennent à disparaitre. Elle fit le vide en elle, se conditionnant pour la rencontre à venir...une peur primaire l'habitait, seulement il fallait qu'elle en soit sure. Il ne se passa que peu de temps avant qu'un inconnu arrive...l'ancienne vampire, face à la pression exercée par le nouveau venu...mis genoux à terre, baissant la tête.

-Vendui' Ancien...

Memento mori

Le parchemin est maculé de goutte d eau.

Ad aeternitatem / Aeternitatem exsequor