Histoire complète d'Opale
Née dans les montagnes enneigées de Schuttgart, Opale est un guerrier elfique d’une tribu isolée, plutôt qu’une tribu, on aurait pu dire un village même si au départ ils étaient peu.
Dès son jeune âge, beaucoup de poids ont été mis sur ses épaules, de toute façons, il eut peu d’ami, il était grand pour son âge, plus que la moyenne et très vite il a montré un esprit combatif hors norme, la tribu était guerrière, aussi les enfants se sont vite mis en compétition et Opale ne faisait pas de compromis, il utilisait toute la force que la nature lui avait conférée pour écraser ses adversaires.
Ceci ne fut que renforcer son isolement.
Son père était fier, il avait un nouvel enfant qui pouvait prendre le relais si le premier ne convenait pas, Opale avait un grand frère, ce dernier était moins combatif et moins sculpter physiquement que lui à son âge apparemment, par contre, il était entouré et intelligent.
Pour évincé Opale, il n’hésita pas à user de son influence.
Les enfants de la tribu devait rapidement apprendre quel serait leur voie, pour Opale, c’était l’évidence, aussi son entraînement de guerrier devait commencer dès l’âge de 15 ans, toutefois, il pouvait si il le souhaitait commencer à apprendre à manier l’arme ou la magie plus tôt.
Opale au vu de son tempérament et de son exclusion commença à l’âge de 7 ans. Il observa les animaux, intrigué par leur façon de survivre, il s’entraîna avec différente arme afin de comprendre celle qui lui correspondait le mieux, il essaya même de voir si il était doué en magie.
Son frère était curieux et finit par envoyer certaines personnes pour l’espionner.
Quant on lui fit le rapport, l’aîné déglutit, le jeune Opale âgé de 13 ans manié déjà l’arme à deux mains, il s’était fait accepter de certains animaux et vivait comme un sauvage avec eux, il mesurait déjà 1m70 et sa musculature était déjà mieux développé. Avec incertitude, on lui rapporta, qu’il pouvait peut être manier le feu…
Il ne pouvait pas le tuer … il devait prendre sur lui. 2 ans, il devait attendre 2 ans après son initiation à l’âge de guerrier, SI il survivait, il pourrait le défier sans aucune répercutions…
Opale arriva alors à l’âge guerrier, il fut réuni avec les autres enfants de son âge, on leur passa un bâton de bois, un silex, une gourde et un baluchon vide.
Puis, on les emmena loin dans la montagne, ils devaient y survivre durant 1 mois et rapporter un gibier, il va sans dire que plus l’animal était fort, plus la renommé de l’enfant grandissait, c’était en tout cas ainsi que fonctionnait le rituel du guerrier.
Il n’était pas interdit de faire des groupes mais pas plus de trois, ils seraient tous surveillés et aucune agression entre eux n’étaient tolérées, si quelqu’un arrivait pendant une chasse, il devait rebrousser chemin ou attendre que l’autre participant meurt…
Il va sans dire que le jeune homme d’un mètre quatre vingts, musclé à outrance comparé aux autres elfe, était regardé avec crainte et/ou dédain.
Cela ne dérangeait pas Opale, les faibles pouvaient bien le fusiller du regard, il passerait cette épreuve seul, le seul regard qu’il croisa fut celui de son frère qui se rongeait un ongle en l’observant, puis un instant, on aurait dit qu’il fut pris de stupeur avant de s’en aller, Opale n’avait pas conscience que l’espace d’un instant à force de vivre avec les animaux, il l’avait regardé comme un faucon qui allait fondre sur sa proie…
La première réaction d’Opale fut de se confectionner une arme viable même s’il n’en avait pas vraiment besoin, puis trouver à boire et à manger, certains animaux ne cherchaient même pas l’intimider. Vu le temps que Opale avait passé avec eux, ses sens s’étaient aiguisés à outrance et il connaissait les habitudes de la plupart des animaux présent dans la montagne.
Ce mois fut pour lui assez ennuyeux et solitaire.
Vu le contenu de l’épreuve, il ne pouvait pas se permettre de copiner avec les animaux du coin, il se contenta donc de chasser, manger, boire, s’entraîner à l’arme, uniquement l’arme qu’il avait en sa possession d’ailleurs, pour ne pas montrer d’autre atout et repérer où était les autres groupes et les animaux puissants.
Quand ils revinrent, ils présentèrent chacun leur « proie » puis vint le tour d’Opale, il avait pas mal de blessures ce qui ne manqua pas de faire sourire son frère de soulagement. Quand il déposa l’animal tous furent stupéfait et son frère s’avança.
« Bien joué Opale ! Cet animal démoniaque a du te donner beaucoup de mal ! Tu es un fier guerrier de la tribu! Mais…. - un sourire serpentin se traça - Cet animal est immangeable Frangin ! -Il se retourna et ouvrit les bras comme pour se montrer en spectacle devant un public- Il semblerait que tu ne sois pas près pour certaines taches mon jeune frère.
- Il fit une révérence à Opale - Mais ne t’inquiète pas, ton grand frère prendra soin de toi et de tes talents de combattants certains. »
Certains s’osèrent à rire alors que Opale regardait son frère se donner en spectacle, il l’avait laissé faire son monologue sans dire mot puis il ria fort, au point ou certains se bouchèrent les oreilles, ce qui ne manqua pas de surprendre son frère et intriguer son père qui était rester spectateur de la scène.
Pour eux deux, le combat pour le « trône » avait commencer depuis des années et même si Opale était doué, il était plus jeune et devait quand même passer certaines qualifications pour être retenu.
« Tu as raison grand frère, cette bête est immangeable, je salue l’intelligence de mon frère !
-Euh oui… - Déglutissant et stressé, devant la réaction de son cadet. Il avait l’impression que quelque chose se resserré autour de lui lentement- »
Opale repartit un instant puis revint avec une seconde bête sur les épaules et la pausa au sol.
« Celle là devrait convenir mieux n’est ce pas Frère ? »
Il avait ramener le prédateur le plus puissant de la montagne, ce qui expliqué ses blessures, son frère osa lever le regard vers lui et découvrit un nouveau visage d’Opale, un sourire fin et narquois, des yeux brûlant menaçant de tenter de le défier plus, le serpent s’était resserrer contre sa gorge et il ne pouvait plus s’en défaire…
« Pourquoi ne pas avoir … montrer cette proie directement ... ? Osa demander le grand frère.
- Je voulais… voir ta réaction Grand Frère ! »
Son frère pensa en son fort intérieur prit de stupeur.
« Je dois le défier et le tuer au plus vite … sinon ces crocs atteindront ma gorge ! »
Opale avait appris à être malin à force d’être blessé mentalement et moralement par son grand frère, il savait qu’il le craignait et ferait tout pour l’évincer, il avait donc appris à être vicieux parfois, même si il préférait la confrontation, certaines situations pouvaient obliger de se servir de sa tête, de mots et de ruses.
Ce fut la fête ce soir là, certains commencèrent à se détourner de son grand frère, le félicitant, le comblant de compliment ; disant même que la tribu avait un bel avenir devant elle.
« Ces gens… ce sont des faibles qui se réunissent autour des forts, des intéressés, les animaux sont bien plus chaleureux que eux… j’ai l’impression de parler à des masques. » Pensa Opale en son fort intérieur.
Ce fut une belle soirée pour féliciter les nouveaux guerriers de la tribu, il y eu bien quelque tentative de séduire Opale mais il les repoussa calmement et le plus gentiment possible, prétextant qu’il avait besoin de soin et de repos.
Il savait que son frère allait agir sous peu et ça ne tarda pas.
Un mois plus tard pour ne pas se montrer trop pressant, il le défia.
Ils durent se réunir dans l’arène sous le regard de tous, leur père annoncé :
« Que Paa’grio soit témoin de votre bravoure et de votre hardiesse ! Ce combat a pour but de montrer qui est le plus fort physiquement d’entre vous deux ! Rien n’oblige a tuer son adversaire !
-Les deux frère se regardèrent sans rien dire-
Soyez brave et fort… Combattez ! »
Son frère se rua sur lui en pensant « C’est ma seul chance de gagner ! Je suis plus expérimenter que lui et j’ai encore un peu d’allonge par rapport à lui ! »
Il se battait avec une arme fine, une longue lame effilée, Opale esquiva les coups d’estoc mais semblait absent, ce qui ne fit que enrager encore plus son frère.
« Comment peut on se battre avec une arme aussi fine ?
Le frère beugla.
-Ne me prend pas de haut »
Il dut malgré tout esquiver le coup de lance de Opale qui failli lui transpercer le crâne avec une force prodigieuse, ce qui le fit reculer, après plusieurs pirouettes.
« Si… je m’étais pris ce coup... » son frère eu l’image de sa tête arraché net, serra les poings et chargea en donnant des coups d’arme ou d’estoc répétés.
Opale les esquiva ou bloqua, son frère était rapide mais Opale ne réagissait que peut, le grand frère ne savait pas pourquoi mais continua ses assauts frénétiques jusqu’à ce que la lance d’Opale finisse par se briser..
Un rictus malsain et satisfait apparut alors sur son visage.
« Tu as per ... » L’aîné ne put finir sa phrase, un coup de poing d’une violence extrême vint se placer en plein milieux de son visage et le projeter à plusieurs mètres.
Opale jeta la lance en disant juste qu’elle n’était pas adapté à son style de combat et pris position.
« A main nue... » Son frère se releva difficilement et jeta un regard haineux vers l’assistance plus précisément vers ceux qui devaient espionner son cadet.
Quand il reporta son attention, il vit un animal devant lui, sa position, sa présence, son style de combat avait été créé très certainement en observant les animaux sauvages.
Il eut à peine le temps de penser à cela que son jeune frère était déjà sur lui et avant de finir au tapis il entendit juste.
« C’est tout … ? »
Opale fut de nouveau félicité, le père quand à lui alla après félicitation, vint consoler l’aîné.
« Ne t’inquiète pas tu aura d’autre occasions ! Entraîne toi avec diligence maintenant et tu arriveras à quelque chose. »
Plus le temps passé, plus l’écart grandirai, il n’était pas juste un idiot manipulable, Opale put alors voir son frère le regarder avec frayeur et lire sur ses lèvres :
« Monstre... »
A partir de là, Opale continua de s’entraîner pour devenir plus, aller plus loin, il grandit, vieilli et finalement le frère disparut et Opale vint seconder son père.
Opale mena a bien les missions données par son père, il eut bien quelques membres du conseil du « village » qui tentèrent de l’évincer mais ce fut peine perdu.
Un beau jour, alors qu’il s’entraînait avec une arme à deux mains, frappant juste en projetant sa force de façons horizontal et vertical, une jeune fille tomba devant lui sur ses fesses.
Il allait lever son arme pour donner un coup mais l’arrêta en la voyant puis rebaissa tranquillement sur le coté pour la toiser.
Opale était devenu froid, quand il n’était pas les personnes dans les affaires du village, il ne portait pas de masque comme les autres membres, il avait l’habitude depuis des décennies… des siècles de s’entraîner et n’apprécier pas vraiment qu’une inconnue pénètre sur ce qu’il considérait de son territoire.
A ses yeux une gamine, maladroite, un peu potelé et faible de surcroît.
Quand elle le regarda, il se contenta de lui dire :
« Bouge microbe tu m’gênes ! »
Elle avait l’air interloqué voir offusqué et lui tira la langue en stipulant que ce n’était pas gentil, il se contenta juste de lui réponse :
« J’men fiche tu m’gênes, bouges ou j’me sers de toi pour mon entraînement. » En serrant le manche de son arme.
Elle s’exécuta et se contenta de l’observer de loin.
Ça dura un moment et cela finit par agacer Opale qui alla la voir.
« Hey Amène toi. » - en pointant du pouce là où il s’entraînait. « J’ai besoin d’un sac de frappe. »
A partir de là, ils s’entraînèrent ensemble puis, un jour, cette même jeune femme vint faire une nouvelle tentative.
« A chaque fois elle morfle et elle revient ... »
Mais ce jour là, elle vint avec des animaux, ces derniers semblaient la suivre et lui obéir parfaitement, Opale qui avait en partie grandit avec les animaux fut stupéfié et émerveillé de ce qu’il vit, il planta son épée au sol, croisa les bras et la regarda avec un large sourire.
« Voilà que tu d’viens un microbe intéressant ! »
Il se rejoignirent ainsi tous les jours pour s’entraîner à partir de ce jour, ils échangeaient aussi sur leurs capacités et dons respectifs.
Opale finit par monter sur le « trône », si on peut dire cela de ce modeste village.
Il avait des migraines chaque jours, les seuls bons moment étaient quand il s’évadait dans la montagne et parler avec « micrognius ».
Puis un jour il fut interloqué :
« Tiens… comment tu t’appelles au fait micrognius ? »
Ils ne s’était jamais échangés leurs noms depuis tout ce temps…
La vie suivit son court ponctuée de différents évènements, de combats, de décisions a prendre pour le village grandissant et acceptant tout peuple…
Depuis un moment, certaines familles fondatrices commençaient à se montrer insistant sur le fait que Opale avait passé les 600 ans et n’avait ni femme, ni enfant.
Qu’il fallait penser à l’avenir du village, qui prendrait la succession après lui ? Son père était mort déjà depuis quelques années après avoir profité d’une fin de vie tranquille aussi il ne pouvait plus l’aider pour ce genre de décision, Opale était seul et… il finit par céder plus agacé qu’autre chose.
On lui présenta donc une elfe, chétif, pâlotte, sans aucun talent au combat et surtout la fille d’un de ces vieux masque avare.
« On la surnomme la fleur des neiges, n’est elle pas magnifique »
Il la toisa, quand il se mit devant elle et qu’elle leva le regard vers lui, il put même y voir de la frayeur avant qu’elle le détourne.
Opale avait reçut pas mal de demande au vue de sa position, il avait compris qu’il était pas mal dans son genre mais il était resté loin des choses de l’amour…
Elles étaient juste intéressées par le pouvoir ou son physique, aucune ne le connaissaient et elles portaient toute un masque pour lui plaire, celle là au moins montrée quelques sentiments derrière ce masque de marbre, même si la situation ne lui plaisait pas trop.
« Pas vilaine pour une elfe… une pétale plutôt qu’une fleur. » Pensa t’il.
C’était toujours mieux que les autres et de ce qu’il avait vu et entendu d’elle, c’était une fine stratège, la meilleur du village. Elle pourrait être utile en tant que conseillère se dit il pour se convaincre, il fallait maintenant l’annoncer à sa vieille amie, car il serait moins présent à partir de maintenant.
Quand il la revit comme à leurs habitudes, Opale profita longuement de ce moment, puis, il lui annonça.
« Je vais me marié…
Elle le félicita et le détailla.
- Ce n’est pas une bonne nouvelle ?
- Je serai moins présent à partir de maintenant et plutôt qu’une mauvaise nouvelle, c’est juste qu’elle ne m’intéresse pas mais ça... ce sont les affaires politiques du village…
Il remarqua qu’elle fut attristée.
- Tu ne devrais pas te forcer … si tu n’aimes pas ça…
Il lui sourit juste un sourire étrange et un peu seul.
- Tu vas beaucoup me manquer… Microzaurus ! »
Lui dit il avec un grand sourire.
- Toi aussi Opale et si un jour tu as besoin de moi, je serai toujours là. Puis comme pour détendre l’atmosphère. Pourquoi Microzaurus au fait ?
- Car tu es un microbe avec des fesses de dinosaure donc tu es Zaurus ! »
Cette dernière lui sauta dessus et lui mordit l’oreille comme une sauvageonne en lui disant qu’il pouvait rajouter ça à son surnom.
Ce soir là il rentra, puis les jours qui vinrent Opale et Maria se marièrent.
Plusieurs mois passèrent, sa femme avait bien essayé de le connaître mais il y avait une distance entre eux, elle avait essayé de le connaître et entrer dans son territoire. Il respectait cela, mais elle ne tenait même pas le rythme pour monter la montagne aussi il y a alla seul et s’isola comme à son habitude.
Ils ne se voyaient presque plus et un beau jour alors que ce dernier regardait la neige tombait, il écrivit sur un arbre qu’eux deux fréquentaient un mot puis rentra juste, le plus lentement possible.
« Opale était ici. »
Il apprit par la suite à connaître sa femme et une forme d’affection n’acquit peu à peu, ne serait ce que pour respecter les efforts qu’elle faisait.
Ils eurent deux enfants peu de temps après, Arian et Mirek.
Puis, lorsque ses enfants eurent 10 ans, son frère rentra en sang, tous étaient paniqués. Opale sortit voir ce qui se passait.
« Où étais-tu Oriek ? » Lui demanda t’il. Quelque chose était bizarre, son sourire était mauvais, complètement dément.
« Si je ne peux pas l’avoir, personne ne peux ! »
Opale vit des yeux briller dans la pénombre et une horde de cadavre déferla en dévorant son frère sous ses yeux au passage.
Il fit ce qu’il put pour limiter les dégâts mais c’était peine perdu, il n’était pas assez fort pour protéger le village, c’était déjà difficile de survivre, il chercha sa femme et ses deux enfants en combattant, courant à travers le village.
Enfin, quand la situation se calma, il retrouva son épouse, au sol et agonisante.
« Les enfants Opale… je t’en prie. Lui dit-elle.
- Ne t’inquiète pas, je vais les trouver.
- Merci… - elle lui sourit - de m’avoir aimé… - elle grimaça - Achève moi ! - dans un souffle - Je ne veux pas être … - en larme - comme ça... »
Il fut ébranlé, cette femme si froide en apparence, l’avait vraiment aimé, alors que lui s’en était juste accommodé… même si il lui rendait ses attentions, faisait des efforts pour lui plaire et être agréable, elle aurait mériter mieux, un homme plus … passionné.
Quand il vit les premiers signes de transformation, il se leva, prit son arme à deux mains, lame vers le bas et l’entendit juste dire avec un sourire.
« Ne pleure pas mon amour. » En lui souriant.
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Il chercha ensuite ses enfants, puis, il finit par les retrouver
Ils avancèrent vers lui… d’un pas lent et saccadé, Opale lâcha son arme et se prie la tête à deux mains en criant :
« Nan ! »
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Ils les voyaient s’approcher de lui, lentement mais sûrement. Ils étaient sûrement trop jeune et encore trop faible pour être aussi menaçant que les autres infectés…
Il les repoussa plusieurs fois, les larmes aux yeux, puis alors que les deux le chargèrent en furies et qu’il commença à ne plus pouvoir les retenir, il les repoussa une dernière fois, attrapât ce qu’il pouvait et enfonça deux morceaux de bois qui étaient sous ses mains dans leur crane…
Il s’effondra, se roula sur le sol, gémissant comme un animal blessé, il alla doucement vers eux à quatre pattes, les enlaça avec tendresse, retira sans endommager davantage leur crâne les morceaux de bois… et posa plusieurs baisés sur leur tête, lorsqu’il n’eut plus de larme pour pleurer, il hurla...vers le ciel.
- hurleopale.png (55.07 Kio) Consulté 94 fois
Son amie perdue de vue depuis des années arriva peu de temps après au village, retrouvant Opale des larmes séchées sur les joues en train de caresser le crâne de ses enfants et de dodeliner.
